Les étudiants et étudiantes de l'AÉHUM
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 Nous ne sommes pas seul-e-s!

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Guillaume




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MessageSujet: Nous ne sommes pas seul-e-s!   Nous ne sommes pas seul-e-s! Icon_minitimeJeu 27 Sep - 20:28

Citation :
L’AFESH-UQAM adopte un mandat de grève générale illimitée

Réuni-e-s en assemblée générale aujourd’hui, 27 septembre, les membres
de l’Association facultaire étudiante des sciences humaines de l’UQAM
(AFESH-UQAM) ont adopté à 62 % un mandat de grève générale illimitée.

La proposition adoptée est la suivante :

- Que l’AFESH-UQAM se dote d’un mandat de grève générale illimitée qui
sera effectif lorsqu’une assemblée générale de déclenchement de grève
constatera au moins 7 associations représentant 25 000 membres se
soient
dotées d’un même mandat sur la base des conditions d’entrée dans la
coalition de l’ASSÉ.

- Que les stages et les cours préparatoires aux stages ne soient pas
perturbés lors de la durée de la grève générale illimitée.

Pour : 430 (62 %)
Contre : 251 (36 %)
Abstention : 11 (2 %)

Plusieurs associations étudiantes tiendront des consultations sur la
grève générale illimitée dans les semaine à venir :

1er au 5 octobre
- Association étudiante du secteur des sciences de l’UQÀM (AESS-UQÀM)

1er octobre
- Association générale étudiante du Cégep du Vieux-Montréal (AGECVM)

3 octobre
- Association générale étudiante d’urbanisme de l’UQÀM (AGEUR-UQAM)

10 octobre
- Association facultaire étudiante de lettres, langues et
communications
de l’UQÀM (AFELLC-UQAM)
- Association des étudiantes et étudiants en anthropologie de
l’Université Laval (AÉÉA-UL)

11 octobre
- Association facultaire étudiante de science politique et droit de
l’UQÀM (AFESPED-UQAM)

15 au 18 octobre
- Association étudiante du Cégep de Saint-Laurent (AECSL)

16 octobre
- Association générale étudiante du Cégep de Drummondville (AGECD)
- Société générale des étudiants et étudiantes du Collège de
Maisonneuve
(SoGÉÉCoM)

17 octobre
- Association étudiante du Cégep de Sherbrooke (AECS)
- Syndicat étudiant du Cégep de Marie-Victorin (SECMV)
- Association étudiante du module de science politique de l’UQAM
(AEMSP-UQAM)

18 octobre
- Association générale étudiant des lettres et sciences humaines de
l’Université de Sherbrooke (AGEFLESH)

23 octobre
- Association étudiante du Cégep de Matane (AECM)

Pour votre information, l'AFESH a, je considère, une position presque frileuse sur la gratuité scolaire, soit un plan en cinq ans; c'est-à-dire la même chose que le PARTI LIBÉRAL en 1966, et que le PARTI QUÉBÉCOIS en 1968. La revendication ne sort pas vraiment du cadre des positions de l'ONU, qui appuie fortement la gratuité scolaire (il y a un organisme, au monde, qui est plus modéré que l'ONU? L'ONU, contrôlée de loin par le Conseil de Sécurité, est la personnification même de la modération. Et pourtant, elle est en faveur de la gratuité scolaire!)

Pourtant, ils/elles sont prêt-e-s à faire la grève!

Jetez un coup d'oeil là-dessus, si vous voulez bien:
http://www.pch.gc.ca/progs/pdp-hrp/docs/cesc/cn_f.cfm (édition: j'ai changé l'adresse. Voici un résumé de la déclaration faite par le Canada.)
Moi, j'en ai assez de débattre, si vous n'êtes pas encore pour la gratuité scolaire, allez vous obstiner avec les gens de l'UNESCO. Razz


Dernière édition par le Ven 28 Sep - 20:31, édité 1 fois
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Ced




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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas seul-e-s!   Nous ne sommes pas seul-e-s! Icon_minitimeVen 28 Sep - 10:03

Premièrement: Guillaume, ton lien ne marche pas.

Deuxièmement: Ah bin si c'est l'ONU qui paie la facture pour notre gratuité scolaire, j'embarque!!!!


Un peu de sérieux... c'est bin facile pour L'ONU d'être pour la gratuité scolaire, ce ne sera jamais l'ONU qui va devoir régler la facture. C'est clair que la gratuité scolaire est positive pour la population de n'importe quel pays, mais il faut que quelqu'un paie la facture un jour, et dans le cadre d'un univers ou l'argent n'apparait pas par lui même, il faut voir ou est la priorité. Par exemple, en Éthiopie, de la bouffe, ou de l'éducation gratos? Hmmm.. je crois que la bouffe passe en premier! Ici: des viaducs qui tiennent debout, des hopitaux qui répondent à la demande, ou bien des étudiants qui reçoivent une facture encore plus petite que celle qu'on a déjà? Personnellement, je trouve que notre éducation post secondaire est déjà bien assez abordable, on peut se permettre de mettre la gratuité en Stand-by le temps de régler certains autres problèmes plus urgents.
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Guillaume




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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas seul-e-s!   Nous ne sommes pas seul-e-s! Icon_minitimeVen 28 Sep - 20:17

Première chose: le gouvernement fédéral vient d'annoncer un surplus de 14 milliards de dollars. Si cet argent revenait en transferts aux provinces, nous pourrions profiter de 3,22 milliards de dollars en subsides supplémentaires.

Ensuite, 2,5 milliards de dollars pourraient facilement être cherchés par an dans le règlement de l'évasion fiscale. Je répète que ce montant serait facile à aller chercher, puisque ce sont les lucratives industries de la restauration et de la construction qui volent la majorité des impôts. Pas l'industrie de la quête des quêteux. Ne pas aller chercher cet argent, c'est un choix politique et c'est irrationnel, compte tenu des nombreux booms en construction que nous avons vus ces dernières années.

Les profits des entreprises ont augmenté au cours des 40 dernières années, malgré tout le discours sur la compétitivité et sur la délocalisation; et alors que les entreprises devraient logiquement contribuer au système d'impôts, elles reçoivent, selon Yves Séguin, plus qu'elles ne donnent! Une simple imposition de 5% pourrait, chez les 53% d'entreprises qui ne paient présentement aucun impôt, remplir les coffres de 1,2 milliards de dollars.

Et si on annulait maintenant la baisse d'impôts de 950 millions de dollars qui n'a servi qu'aux riches en torturant le système de contribution progressif?

Et si nous rétablissions, au fédéral, les dépenses militaires au même niveau que, mettons, 2001? Et que nous versions l'excédent produit en transferts pour les provinces?

Ça fait une somme d'environ 8,87 milliards de dollars.

Combien il manque en santé? Trois, quatre milliards? Les voilà.

Et pour les routes? Un milliard?

Et pour l'environnement? Un milliard aussi?

Après tout ça, il reste encore près de trois milliards de dollars. Or, nous avons besoin, pour rétablir la situation en éducation, de seulement un milliard cent vingt-cinq millions de dollars, dont seulement 575 millions iraient dans l'achat d'immobilisations. C'est trop demander? Une des critiques de l'ONU, face au Québec et au Canada, était qu'on "manquait de volonté politique".

Si vous avez encore des doutes, c'est que vous ne comprenez pas encore le contexte: pour faire une métaphore simple, le gouvernement joue à casser les roues de la charette (qu'est la société) pour justifier à avoir à les changer. Il fait la même chose avec le système de santé. Ce que le gouvernement veut, c'est nous faire avaler les privatisations et une réforme de la gestion sous le principe divin de l'"utilisateur-payeur". Je ne suis pas le seul à le dire (à l'intérieur de ma paranoïa), j'ai entendu un chroniqueur de Radio-Canada dire exactement la même chose, il y a de cela quelques mois.

Les gens de droite qui sont au pouvoir prétendent qu'il faut bien créer de la richesse (dixit: augmenter le PIB) pour pouvoir maintenir le niveau des services publics. Or, à Cuba, un régime sous-développé qui a le vingtième de notre PIB par tête, a pourtant le deuxième plus bas taux de mortalité infantile en Amérique du Nord, après le Canada (et Cuba n'est pas loin, avec 5,3 mort-e-s pour 1000 habitant-e-s contre... 5,3 au Canada - mais ce sont les statistiques de 2004 au Canada, et celles de 2006 à Cuba, nous avons légèrement progressé depuis). Quant à l'espérance de vie et à l'instruction, les données sont également similaires.

Conclusion: le problème financier, au Québec, c'est de la frime, un mensonge. Vous croyez que le gouvernement ne serait pas en mesure de se permettre d'être aussi fourbe? Rappelez-vous seulement ceci: quand Yves Séguin, ancien ministre des finances libéral, a constaté publiquement qu'il y avait effectivement des problèmes de gestion dans le trésor public, il a été immédiatement limogé.
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Guillaume




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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas seul-e-s!   Nous ne sommes pas seul-e-s! Icon_minitimeVen 28 Sep - 20:28

Autre détail, qui est une erreur sémantique qu'on a tendance à faire.

Les 550 millions de dollars qui seraient nécessaires pour instaurer la gratuité scolaire seraient de toute façon faciles à aller chercher, puisque c'est une somme qui est déjà déboursée, présentement, par la population étudiante. Si c'est vrai que nous pouvons payer à 200 000, c'est encore plus vrai que nous pouvons payer à 2 000 000. La gratuité scolaire, c'est seulement étendre le coût des études à l'ensemble de la population. Sur le plan fiscal, c'est avantageux, parce que les frais de scolarité seraient payés avec de l'argent réel, et non pas par l'accumulation de dettes individuelles ou publiques.

Prétendre que nous n'avons pas les moyens de nous permettre la gratuité scolaire est donc une erreur de logique (et dans le pire des cas, un sophisme, si le faux argument sert la cause de gens intéressés).

Comme je l'ai dit dans un autre fil, la simple redistribution des coûts de la scolarité ne peuvent, au bout du compte, que déplaire à certain-e-s personnes, soit:
- les familles à très fort revenu qui paient plus d'impôts qu'ils ne reçoivent de services, même si elles ont un ou deux enfants aux études.
- Ceux et celles qui n'ont pas d'enfants, pas d'études mais qui ont des revenus assez forts pour payer des impôts.
- Les gens qui ont intérêt à nous garder dans la débilité et l'analphabétisme.

Mais revenons, si vous le voulez bien, au sujet de l'heure, soit les déclarations de grève.
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Ced




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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas seul-e-s!   Nous ne sommes pas seul-e-s! Icon_minitimeSam 29 Sep - 1:17

Guillaume a écrit:

Et pour les routes? Un milliard?

Ça, c'est le montant actuellement investit par année pour "entretenir" les routes. On voit que c'est loin d'être suffisant. Si ma mémoire est bonne, il faudrait ajouter le double (donc 2 milliards DE PLUS) pour faire un entretient convenable qui empêche les choses de se dégrader encore plus, mais sans pour autant améliorer la situation. Reste à savoir si on veut que les chutes de viaducs cèssent d'être plus fréquentes ou cèssent tout court.

Ceci dit, j'avais pas fini de lire, je continue....


Édit. Bon, j'aimerais quand même voir les vrais chiffres pour la santé, parce que je doute qu'il manque juste 3-4 milliards. Mais bon, on pourrait se balancer des chiffres par la tête encore longtemps, il reste que le Québec manque de techniciens et déborde de bacheliers. On le dit tous en histoire, et on n'est certainement pas les seuls: on va se chercher une job longtemps en sortant de là. En ce sens, c'est un peu un luxe qu'on se paie, en étudiant à l'université, et je continue à croire que c'est un peu illégitime d'imposer la totalité du financement de ce luxe à toute la société. Évidement, y'a des domaines ou on n'aura jamais trop de diplomés, je pense entre autres à la médecine, mais je crois que ce serait encore plus élitiste de garantir la gratuité scolaire uniquement aux domaines réellement en demande (d'autant plus que les bourses ont tendance pleuvoir dans ces domaines)...
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Guillaume




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MessageSujet: Re: Nous ne sommes pas seul-e-s!   Nous ne sommes pas seul-e-s! Icon_minitimeSam 29 Sep - 21:26

Citation :
En ce sens, c'est un peu un luxe qu'on se paie, en étudiant à l'université, et je continue à croire que c'est un peu illégitime d'imposer la totalité du financement de ce luxe à toute la société.

Moi, je crois qu'étudier dans le but de faire ce que l'on veut plus tard, c'est un droit, et non un luxe. Encore une fois, ce que je dis n'est pas une lubie d'extrême-gauche, c'est écrit dans la Déclaration des Droits de l'homme et de la femme.

Citation :
reste que le Québec manque de techniciens et déborde de bacheliers.

Le Québec n'a pas un fort taux de bacheliers-ères. Il a un des plus fort taux de diplômés d'études post-secondaires, mais quand on regarde les baccs, nous performons moins bien.

Surtout que les secteurs dans lesquels nous devons investir à l'avenir, nous le constatons de plus en plus, ne sont pas nécessairement ceux qui demandent le plus de technicien-ne-s, mais bien de gens ayant une formation universitaire poussée. Que serait le secteur des hautes technologies si nous n'investissions que dans les techniques?

De plus, je suis opposé au fait de concevoir la société et l'éducation comme un simple four à pain, dans lequel on met des ingrédients (10% de scientifiques, 3% de spécialistes des sciences sociales, 70% d'ouvrier-ères, etc.) pour construire un État puissant dans lequel tout le monde est à sa place et a une fonction productrice et précise. Ce genre de réflexion ne peut qu'instrumentaliser le savoir et rendre futile la liberté de choisir.

Toutefois, si on instrumentalisait le savoir, encore faudrait-il assurer qu'aucune entrave financière n'existe afin de permettre à tout le monde de "trouver sa place".

Je reviens maintenant sur l'injustice de faire payer à tous et à toutes le prix de nos études. Je voudrais signaler que ce n'est pas réellement l'ensemble de la population qui paie pour nos études, mais bien, en grande partie, les riches, soit ceux et celles qui paient le plus d'impôts. Or, les riches sont en grande majorité des diplômé-e-s. S'ils/elles ne le sont pas, ils/elles ont systématiquement fait affaire avec au moins un expert diplômé pour accumuler ou gérer leurs richesses. Qui vit dans le luxe, maintenant? L'étudiant-e qui galère pour payer ses dettes, ou bien le châtelain content de voir que nous voulons assumer entièrement le prix de nos études?

J'aimerais maintenant parler d'une fille que je connais, et qui a un bacc en environnement. À 24 ans, elle travaille dans un organisme communautaire et vit un peu au-dessus du seuil de pauvreté. Elle travaille fort pour la communauté, mais elle est payée presque rien. Ah oui, il y a aussi mon ancienne patronne, elle aussi diplômée, mais en biologie. Elle est payée autour de 18 000 $ par an, elle a fondé un organisme de recherche et d'éducation à l'environnement en région. Elle travaille plus de 60 heures semaine pour son organisme, et passe la moitié de son temps à chercher des nouvelles sources de financement pour ne pas crever de faim (après le passage de Mulcair au ministère de l'Environnement, elle n'avait plus rien du provincial - Dieu merci, se disait-elle à ce moment-là, les libéraux du fédéral croient encore à l'environnement - on connaît la suite). Il y a aussi le vieux du Musée Laurier, qui a fait les Beaux-Arts, et qui a également à peine de quoi se payer une chemise, j'ai travaillé pour lui (subvention spéciale d'emploi étudiant).

Tous ces gens servent des causes importantes; la gestion par bassin versant, la dignité et la propreté dans un quartier pauvre de Montréal, la culture (historique) en région... Quel dévouement, non? Mais pour combien? Un salaire minable. Parallèlement à leur misère, on nous répète qu'entendu la moyenne élevée des salaires des diplômé-e-s, ceux-ci n'ont pas à l'avoir facile durant leurs études... Quelle est la conséquence de tout ça? Eh bien quand il sera temps pour les diplômé-e-s de rembourser leurs dettes, ils/elles passeront devant les édifices abritant les organismes servant la population en se disant: "M'en fiche, j'ai un bacc, j'ai des dettes, je suis le seul artisan de ma réussite, il faut maintenant que je sois bien payé." C'est une réaction que j'entends de plus en plus souvent (surtout, j'imagine, parce que je connais de plus en plus de diplômé-e-s, maintenant que ma fin approche Wink ).

Un luxe, donc, l'éducation supérieure? Pourquoi pas un produit de consommation? Pourquoi pas un investissement personnel en capital? Nous sommes au fond tous et toutes des femmes et hommes d'affaires, entrepreneurs en savoir. La vision est encourageante, je m'achète immédiatement une malette, une cravate, un cellulaire, et le sourire de Boisclair. C'est qu'il faut avoir l'apparence à la hauteur des ambitions.

Citation :
On le dit tous en histoire, et on n'est certainement pas les seuls: on va se chercher une job longtemps en sortant de là.

Il manque des centaines de professeurs de cégep. Il pourrait y en avoir davantage dans les universités et les écoles secondaires. Si on avait un peu plus de financement public, nous pourrions nous trouver un job très facilement en sortant de nos études. Je dis financement public parce que si ça vient des étudiant-e-s, il n'y aura pas plus d'argent, parce que les utilisateurs-payeurs s'en iront tous et toutes financer le département des sciences de la gestion. Les départements d'histoire, de théologie et de toutes les autres disciplines inutiles sont les premiers à souffrir de la fuite des étudiant-e-s vers des domaines lucratifs quand il y a hausse des frais. Allez voir en G-B si vous ne me croyez pas.
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